C’est en 1950, à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, à Paris, que l’art-thérapie, méthode de soins anglo-saxonne, a été utilisée pour la première fois.Elle s’est étendue depuis à diverses structures médicales. Aux prisons aussi. Quand les mots sont insuffisants pour exprimer les maux, les ateliers d’art-thérapie permettent de communiquer autrement les émotions et les bouleversements engendrés par la maladie.


Des soins de support

 
L’art-thérapie utilise la pratique artistique pour accompagner le patient dans sa démarche de travail sur lui-même et lutter contre ou vivre avec la maladie. Loin de se substituer aux soins médicaux classiques, l’art-thérapie est un soin dit “de support”.“L’art a des vertus thérapeutiques au même titre que d’autres disciplines telles que le sport ou la relaxation,” souligne Yvon Graïc, président du comité 76 de la Ligue contre le cancer.

http://www.tendanceouestrouen.com/article.php?id=1402

 

 

 

 

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